Voir le visage sérieux du médecin annonce les très mauvaises
nouvelles avant même qu'il n'ait ouvert la bouche pour dire, "Je suis
désolé, mais vous avez un cancer". Et recevoir un tel choc se révèle la
pire peur de chacun de nous, sachant qu'une femme sur trois et un homme sur
deux sont selon les estimations touchés par cette maladie de notre époque
moderne [aux US].
Des statistiques de ce genre rendent presque impossible
d'échapper à cette effrayante maladie et les perspectives ne sont pas
optimistes avec les traitements de la médecine moderne. Les médias peuvent
proclamer que la chimiothérapie obtient un fort pourcentage de réussite, mais
les enquêtes des activistes de santé ont mis à jour que, selon les
statistiques, ce type de traitement tue plus de gens que le cancer lui-même.
Pour ces raisons et grâce à une bonne intuition, Tom
Arguello a compris que la voie conventionnelle de traitement pour son cancer
diagnostiqué du testicule n'était pas pour lui. Et de ce fait, il a trouvé en
lui les ressources suffisantes pour rechercher une formule alternative de
traitement et se guérir par un régime alimentaire et un changement de mode de
vie. Lisez ci-dessous son extraordinaire aventure et inspirez-vous de
l'attitude positive adoptée pendant son cancer et de ce qu'il en a appris.
Avertissement : le récit de première main de Tom ne se veut
en aucune manière un traitement ou un moyen de diagnostic de la maladie. Le but
de l'information est de partager l'expérience d'un homme qui a triomphé d'un
cancer par la méthode holistique pour que d'autres puissent découvrir des modes
de traitement alternatifs en vue de guérir une maladie si handicapante.
"Je remercie
Dieu pour mon cancer.
C'est deux semaines avant mon 37ème anniversaire que je suis
allé (à contre-cœur) voir un urologue pour une "anomalie" sur l'un de
mes testicules. Je l'avais remarquée 9 mois auparavant et comme beaucoup
d'hommes, j'ai fait comme si le problème n'existait pas. Les semaines et les
mois passant, j'ai constaté que le testicule augmentait de taille et que sa
consistance changeait. Il était anormalement dur. J'ai passé un nombre
incalculable d'heures sur tous les sites médicaux du web dans une recherche
désespérée de diagnostic. Il y en avait un qui revenait fréquemment et sans
ambiguïté : cancer.
Je suis né et j'ai grandi à San Antonio au Texas. C'est une
grande ville et un endroit fantastique pour élever une famille, mais il est
régulièrement classé dans les pires "villes à obésité" de la nation.
J'étais un parfait adepte du modèle alimentaire mexicain, fast-food et sodas.
J'ai pesé jusqu'à 100 kilos pour 1,55 m … faites le calcul. Étais-je conscient
à l'époque que quelque chose clochait ? Absolument ! M'en souciais-je ?
Peut-être un peu, mais j'étais jeune. J'étais invincible. J'avais l'avenir
devant moi ...ou le pensais-je. Ce que j'oubliais à ce moment-là, c'est une petite
chose qu'on appelle conséquence.
J'étais donc assis nerveusement dans la salle d'attente,
essayant désespérément de me convaincre que ce qui m'arrivait était normal,
probablement une sorte d'infection qui partirait avec des antibiotiques. Après
un examen physique, j'ai commencé à comprendre que j'avais tort. Je pouvais le
lire sur le visage du médecin. Il m'a envoyé immédiatement dans le service des
ultrasons. J'ai gardé jusqu'au bout l'espoir de quelque chose d'autre, mais cet
espoir s'est très vite envolé aussi. Le médecin a analysé mon examen aux
ultrasons et a immédiatement ordonné un scanner, des analyses de sang et a
programmé une intervention. "Annulez votre voyage d'affaires", a-t-il
dit. Aïe !. Il était 17 h ce vendredi après-midi-là. J'étais le tout dernier
patient et me retrouvais avec une bombe cancéreuse entre les jambes. Pas la
manière idéale de commencer le week-end. J'étais parvenu au pire moment de ma
vie. Je me sentais perdu. Sans espoir. Anesthésié. Victime.
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Tom et sa fille Laïla |
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Après l'opération, je suis retourné voir le médecin pour le
rapport d'intervention. Le diagnostic était un cancer du testicule stade II.
Décelé relativement à temps, mais il y avait des complications. Le cancer avait
gagné l'épididyme et il y avait une "invasion vasculaire", ce qui
voulait dire une plus grande probabilité que le cancer gagnerait d'autres
parties du corps. En passant devant moi en revue les taux de survie et les
options de traitement, je ne me sentais pas à l'aise avec son "approche
unilatérale". Le fait que toutes ces informations venaient de références
médicales tirées de son ordinateur portable n'a pas contribué à me rassurer. Je
me sentais plus comme une statistique que comme un être humain. La semaine suivante,
je suis allé voir un oncologue qui a analysé mes pronostics, et m'a pressé
ensuite de me soumettre à quelques séances de chimiothérapie pour que je puisse
"bien dormir la nuit". Il m'a aussi encouragé pendant l'entretien à
manger chez McDo après la chimio si j'en avais envie. C'est là que ça a fait
tilt ! Voilà que je me retrouvais dans les griffes acérées de la florissante
industrie du cancer et de la médecine occidentale moderne. Où était mon choix ?
Voilà ce que vous devez faire. Il n'y a pas d'autres options, d'accord ?
Après en avoir discuté avec ma femme, j'ai décidé de
m'attaquer au problème de la chimiothérapie. J'ai pris rendez-vous avec une
conseillère financière qui m'a poussé à faire autant de séances de chimio que
possible avant la fin de l'année, tant que ma franchise d'assurance était
valable sinon j'y serais de ma poche. Comment pouvait-elle savoir combien il me
faudrait de séances de chimiothérapie ? Elle n'était pas médecin ! Mon étape
suivante fut de m'informer sur les conséquences de la chimio. Une infirmière
commença à me raconter dans le détail ce qui allait m'arriver de pire (perte
des cheveux, perte d'appétit, perte de sensation dans le bout des doigts,
etc.), et que je finirais probablement plusieurs fois aux urgences parce que la
chimiothérapie fait baisser le taux des globules blancs, ce qui fait chuter
l'immunité. C'était le scénario classique des effets secondaires qui sont pires
que les symptômes ! J'ai rapidement décidé d'oublier la chimiothérapie.
Je me retrouvais donc tout seul. J'avais tourné le dos à la
médecine conventionnelle. Comment allais-je donc me soigner avec la certitude
que le cancer serait éradiqué ? C'est à ce moment-là que j'ai creusé la
question. Pendant les quelques semaines suivantes, je n'ai vécu que pour ce qui
tournait autour des traitements alternatifs du cancer. J'y ai découvert des
trésors d'information. Les témoignages sans nombre de gens qui avaient guéri de
cancers au dernier stade grâce à la nutrition et aux plantes et aux huiles
naturelles. J'ai toujours eu le goût du risque au cours de ma vie et la pensée
"d'avoir confiance en l'humain" me séduisait beaucoup. En outre,
j'avais constaté durant cette recherche que le taux de cancer de ce pays avait
grimpé à un niveau épidémique. Chaque jour sur les sites des médias sociaux,
mon fil d'actualités était inondé de gens qui avaient ou bien un cancer ou qui
connaissaient quelqu'un ayant le cancer. J'ai su à ce moment-là que je voulais
que mon histoire serve à aider les gens. J'ai décidé de renoncer aux
traitements traditionnels du cancer et de suivre des moyens de guérison
naturels parce que, Dieu m'en préserve, si un de mes amis ou un membre de ma
famille avait un cancer, je pourrais les aider par mon exemple. De plus je
voulais montrer à mes enfants que je pouvais surmonter l'adversité en faisant
les choses à mon idée.
Voici donc ce que j'ai fait : un régime alimentaire à base
de cru.
Tous les matins je démarre avec un verre de kombucha (thé
fermenté contenant des probiotiques naturels qui améliorent la digestion parce
que toutes les maladies commencent dans le tube digestif). Une heure plus tard,
je me fais un jus avec des quantités de légumes et de fruits biologiques. J'en
bois normalement entre ½ litre et 1 litre répartis sur la journée. Quel genre
de fruits et de légumes pour les jus ? Beaucoup de légumes verts à feuilles
comme le chou frisé et les épinards. Je fais aussi du jus de betteraves, de
carottes, de céleri, de concombre, de persil et de blettes. Je me fais des
mélanges différents tous les jours. Je bois aussi de l'eau alcaline toute la
journée. Augmenter le pH est vital parce que les cancers prospèrent dans un
environnement acide, donc en augmentant le pH intérieur, il devient difficile
au cancer de vivre dans le corps. Consommer des légumes biologiques et des jus
de fruit aide aussi beaucoup à élever le niveau du pH. Ensuite je prends des
compléments sous forme d'aliments. Le curcuma et l'ail ont prouvé combattre le
cancer. Je consomme aussi du moringa, qui est également fantastique et rempli
de vitamines et de minéraux primordiaux.
Parlons maintenant des en-cas[aux US, les gens ne font pas
de vrais repas comme chez nous, ils grignotent toute la journée, NdT]. (L'un de
mes sujets favoris). Je mangeais habituellement du yaourt bio, mais j'ai
réalisé que les laitages peuvent favoriser le cancer, je les ai donc supprimés.
J'ai également réduit drastiquement ma quantité de viande. J'ai arrêté
totalement la viande rouge et ne consomme que du poisson fraîchement pêché de
l'Atlantique et du poulet. L'activité physique est aussi un élément crucial de
la guérison. Après avoir récupéré de l'opération, j'ai commencé à faire de
longues promenades. L'air frais et la vitamine D du soleil ne sont pas
seulement bons pour l'âme, mais ils le sont sans doute aucun pour le corps.
J'ai commencé aussi de la musculation dans mon club de gym local.
Depuis le diagnostic initial, j'ai fait faire de multiples
tests sanguins qui montrent que je n'ai plus de cancer. Je n'aime pas employer
le mot de "rémission" parce qu'il implique un retour possible. Je
suis ici pour dire que le cancer PEUT être vaincu naturellement par une
transformation complète sur les plans mental, physique et spirituel ! Vous
devez vraiment changer votre mode de vie pour y arriver. Ce qui veut dire
abandonner les aliments transformés et les OGM. En tant que société, nous
choisissons souvent la facilité. Pour moi, la chimiothérapie était comme
prendre le chemin de la facilité. J'ai réalisé que la chirurgie et la chimio ne
guérissent pas réellement quoi que ce soit. On peut enlever une tumeur et la
voir revenir. Ce qui importe est la cause primaire du problème : le régime
alimentaire et la façon de vivre. Le seul traitement du cancer est de se
consacrer tout au long de sa vie à une alimentation saine et à se sentir bien
dans sa peau.
Ma vie a changé pour le meilleur à la suite de ce cancer. Ma
famille a également beaucoup profité de mon changement de vie. Nous avons créé
un grand jardin biologique pour cultiver nos légumes à jus. J'ai aussi le grand
désir de contribuer à aider les gens. Je suis actuellement en train de mettre
sur pied une structure à but non lucratif [The Green Health Project] qui
fournira aux gens de vrais aliments biologiques soit parce qu'ils n'y ont pas
accès, ou pas les moyens de s'en procurer.
Donc oui, je remercie Dieu pour mon cancer parce que ce fut
la nécessaire prise de conscience cosmique dont j'avais désespérément besoin.
J'ai transformé ma vie et aujourd'hui je suis en très grande forme et pour la
première fois de ma vie, JE ME SENS EN BONNE SANTÉ !
Ma femme et moi avons fait de la santé et du bien-être une
affaire de famille et notre première priorité. L'une des meilleures récompenses
de mon épreuve est d'être témoin de la transformation chez nos enfants. Ils ne
désirent ni ne réclament des aliments frelatés ! Ils adorent jardiner et vivent
sainement et c'est peut-être le plus beau cadeau que je pourrais jamais leur
faire."
L'histoire de Tom est à partager pour montrer qu'une
guérison holistique des maladies actuelles, comme le cancer, est possible. Et
les gens n'ont pas besoin d'attendre de recevoir le diagnostic paralysant, car
le pouvoir de prévenir et même d'inverser ces maladies réside majoritairement
dans le choix alimentaire et le mode de vie.
Pour que quelque chose se manifeste, il faut forcément une
cause ou une origine. Les modalités holistiques et naturelles fonctionnent pour
tous les aspects aussi bien corporels que mentaux et spirituels afin d'éclairer
la raison sous-jacente qui a entraîné la maladie ; c'est là où pèche la
médecine occidentale. Si on se sent suffisamment motivé pour agir aujourd'hui,
on n'aura pas à s'inquiéter demain de ces maladies modernes handicapantes.