jeudi 23 mai 2013

L'égopode, plante sauvage à cuisiner.

Connaissez-vous l’égopode ?
L’egopode est une plante se retrouvant souvent dans les bois et à l’état sauvage dans les jardins. Elle fleurit vers le mois de juin.
Elle est riche en protides- donc intéressant pour végétariens et végétaliens- en provitamine A et en vitamine C.
Elle peut être consommée crue, en salade (avec les jeunes feuilles), cuite à la vapeur, ou comme les épinards. Plus tard, elle peut être considérée encore parmi les meilleurs légumes en retirant le pétiole s’il est dur.

photo source Wikipédia.

jeudi 2 mai 2013

Le bénévolat est bon pour la santé !

 D'après une étude publiée récemment dans le JAMA-Pediatrics, faire du bénévolat serait bon pour le coeur, même à un jeune âge ! Une raison de plus d'aider son prochain ! 

Faire le bien autour de soi est avant tout un acte altruiste. Et si faire du bien pouvait également nous être bénéfique ? C'est un peu la question que se sont posée les chercheurs de la University of British Columbia (UBC) de Vancouver : est-ce que le bénévolat peut avoir un impact sur la santé physique des adolescents ? 

En effet, des études précédentes avaient montré que des facteurs psychosociaux, comme le stress, la dépression et le bien-être personnel, jouaient un rôle dans les maladies cardiovasculaires, une cause importante de mortalité en Amérique du Nord. Or, les signes précurseurs de la maladie peuvent apparaître dès l'adolescence a souligné Hannah Schreier l'une des auteurs de l'étude. 

Ainsi, pour tester leur hypothèse, les chercheurs ont mesuré l'indice de masse corporelle, le cholestérol et le degré d'inflammation de 53 lycéens de Vancouver qui consacraient une heure par semaine de leur temps à des activités avec des élèves du primaire de leur quartier. Ils ont aussi évalué l'estime personnelle, la santé mentale, l'humeur et l'empathie des étudiants. Ensuite, ils ont comparé les résultats de leurs recherches avec un groupe de 53 lycéens qui ne faisaient pas de bénévolat. 

Après dix semaines, ceux qui faisaient du bénévolat avaient un niveau de cholestérol et un degré d'inflammation des tissus plus bas que les autres et avaient également moins de graisse corporelle. 

Ceux et celles qui avaient montré le plus d'empathie et d'altruisme dans l'accomplissement de leurs tâches étaient aussi ceux dont la santé cardiovasculaire s'était le plus améliorée, a déclaré Mme Schreier. 

Au final, il s'avère que bénévolat améliore bien la santé cardiovasculaire des bénévoles. "C'est encourageant de voir comment l'intervention sociale auprès de membres de la collectivité améliore la santé des adolescents", s'est réjouie Hannah Schreier. 
Source Doctissimo.fr

Fermer les poings améliorerait la mémorisation

Les scientifiques ont constaté que pour mieux mémoriser des informations, il faut juste serrer fermement les poings. 
Les experts ont mené une expérience et ont constaté qu'en serrant le poing droit une personne peut mémoriser une grande liste de mots. Et le poing gauche permet d'extraire les informations, qui sont cachées dans la mémoire à court terme. 
Selon les scientifiques, ces mouvements stimulent une certaine zone du cerveau responsable de stockage et de récupération des mémoires. 
French.ruvr.ru

mercredi 1 mai 2013

La souffrance - Alice Bailey.


En dernière analyse, la souffrance n'existe que si l'âme est identifiée avec le corps, ou plutôt lorsque l'aspect spirituel de l'âme dans le corps est identifié avec l'âme animale qui active et vitalise la forme en constituant sa vie temporaire. Durant l'inconscience, l'âme animale ressent douleur et souffrance. Ceux qui soignent et veillent les malades le savent bien. Mais il n'y a ni douleur réelle ni véritable affliction parce que l'homme vrai, l'âme spirituelle, a été chassé soit par l'excès de la douleur comme dans le coma, soit par des narcotiques.
La souffrance de l'âme lorsque la personnalité dévie du droit chemin n'est qu'une façon de parler symbolique. Il n'y a ni douleur ni vraie souffrance, et souvent pas même de connaissance de l'événement, parce que la vibration n'est pas assez élevée pour pénétrer le lieu élevé où demeure l'âme. Dans les cas où l'âme est impressionnée, elle éprouve, si [17@347] j'ose m'exprimer ainsi, un sentiment d'occasion perdue, donc de frustration, mais rien de plus, car la patience de l'âme ainsi que celle de la Hiérarchie sont illimitées. Lorsque nous parlons symboliquement et disons que l'âme souffre, il ne faut pas l'interpréter dans le sens ordinaire.
Les souffrances du Christ, ou du Logos planétaire, ou de Dieu lui-même, ne peuvent se comprendre en termes de réactions de la personnalité. Nous employons les mêmes mots, mais ils signifient alors "identification détachée et isolée". Cela vous apporte-t-il un enseignement, ô mes frères ?
Une identification erronée provoque de la douleur ainsi que des souffrances, des afflictions, et des effets divers. Une bonne identification amène à saisir et à comprendre le comportement psychologique de celui qui souffre, mais non à souffrir ou à être affligé comme nous l'entendons normalement.
                                                           Guérison Ésotérique -Alice A. Bailey