mardi 26 septembre 2017

Agir en réaction à la tristesse

"Dès que vous sentez la tristesse approcher, ne la laissez pas vous envahir, réagissez ! Et qu’est-ce que j’appelle réagir ?

Chercher des arguments pour chasser la tristesse n’est pas facile.
Vous arriverez plus sûrement à changer votre état intérieur en agissant dans le plan physique : apporter une fleur ou un fruit à un ami (oui, une fleur ou un fruit, pas votre tristesse), ou lui écrire un petit mot, sortir dans la rue en donnant de bons regards et même un sourire aux passants.
Il y a tellement de choses à faire ! Des choses en apparence peu importantes, mais en réalité très efficaces.

Combien de vos tristesses ont souvent des causes dérisoires : une petite contrariété, une petite humiliation. Eh bien, au lieu de vous laisser accabler en ruminant tout cela, c’est le moment de manifester votre gentillesse.
Non seulement vous retrouverez votre paix intérieure, mais vous gagnerez des amis, vous serez pour eux une source vive, un rayon de soleil, un jardin fleuri.

Apprenez à vous servir de la tristesse pour faire quelque chose de bon, d’utile, que vous n’auriez peut-être pas fait si vous vous étiez senti heureux et bien disposé."

Omraam Mikhaël Aïvanhov

jeudi 17 août 2017

La relaxation Yoga Nidra, effets et méthode

« Une heure de sommeil en 15 minutes »: est l’effet de cette relaxation très efficace appelée yoga Nidra. En fait, chaque 15 minutes de yoga Nidra équivalent à une heure de sommeil, donc 30 minutes de Yoga Nidra équivalent à 2 heures de sommeil, 45 minutes à 3 heures de sommeil, etc... Méthode Tout d’abord télécharger un enregistrement de yoga Nidra en faisant une petite recherche sur Internet. Par exemple,il y a quelques enregistrements disponibles sur le site de Nicole Bordeleau comme cet enregistrement d’une durée de 24 minutes ou « Relaxer et mieux dormir » de l’album Méditer en toute simplicité d’une durée de 17 minutes. Puis, dans un lieu tranquille, on éteint la sonnerie du téléphone, on s’allonge sur le sol ou sur notre lit. On peut placer un oreiller sous les genoux pour plus de confort et une couverture pour ne pas avoir froid. Puis, on se laisse guider par la voix de l’enregistrement, qui va nous guider dans la relaxation. I l s'agit de ne pas bouger et de rester alerte et éveillé car les effets seront moins grand si on s'endort. Les effets du yoga Nidra Le yoga Nidra permet de détendre tout le corps, de relâcher les tensions, tout en mettant le mental et les pensées sur pause. On n’a qu’à suivre les indications et se laisser guider dans cette pratique ressourçante. Lorsque vous aurez terminé, vous vous sentirez reposé, calme, prêt à faire face à ce que vous réserve le reste de votre journée. Chaque fois que nécessaire le yoga Nidra aide à faire le plein d’énergie.

Métaux lourds, mercure, chélation et jus pour les évacuer.


Liste des composants du jus : roquette (une grosse poignée) asperges vertes, une demie botte persil, 1 demi bouquet coriandre, 1 demi bouquet ail 2 gousses curcuma entier pommes (2) aloe vera La roquette fait partie des crucifères. L'ail contient du soufre, la pomme adoucit le système digestif. La coriandre est une plante médicinale. Un grand merci à Thierry Casasnovas pour cette vidéo!

mardi 8 août 2017

Augmenter sa lumière dans les moments sombres


Quand quelqu'un t'insulte, te réduit à une chose,
Quand on te donne un conseil que tu n'as pas demandé,
Quand quelqu'un te rend responsable de sa douleur,
Quand quelqu'un ne t'écoute pas, et parle sans arrêt de lui-même,
Quand quelqu'un te compare aux autres,
Quand quelqu'un ignore, invalide, juge ou ridiculise tes pensées ou des sentiments...
Arrête-toi. Respire.
Reconnais que c'est leur douleur, non la tienne.
Reconnais qu'ils sont en train de rêver le seul rêve qu'ils peuvent rêver jusqu'à ce qu'ils s'éveillent.
Reconnais qu'ils ne te connaissent pas, mais seulement leur fantaisie.
Peut-être ont-ils du mal à s'aimer eux-mêmes.
Peut-être cherchent-ils leur valeur à l'extérieur.
Peut-être sont-ils déconnectés de leur respiration, de leur corps, de ce qui est vivant et précieux en eux, de leur véritable vocation.
Peut-être vivent-ils dans un monde dualiste de bon et mauvais, vrai et faux, succès et échec.
Peut-être ont-ils oublié la simple joie d'être.

Peut-être que tu comprends cela.
Peut-être as-tu été là où ils ont été .
Ne cherche pas à les changer maintenant.
Peut-être ne changeront-ils jamais.
Ne cherche pas à les corriger.
Ils n'ont pas demandé à être corrigés.
Plus tu pousses, plus ils te repousseront.
Ne te laisse pas prendre dans leur tissu de peines.
Vois clair, aie même de la compassion, mais ne pousse pas.
C'est OK qu'ils soient contrariés. Ça l'est vraiment.
Donne-leur l'espace pour être contrariés.
C'est OK qu'ils soient déçus par toi.
Donne-leur l'espace pour être déçus.
C'est OK qu'ils te jugent. Fais de la place pour leurs jugements aussi.
Fais de la place pour tes propres pensées et sentiments !
Permets-toi de te sentir triste, en colère, coupable, d'avoir des doutes.
Laisse ces précieuses énergies être lavées à travers toi.
Elles ne te feront pas de mal si tu leur permets de bouger.
Oui, tu rencontreras beaucoup de gardiens dans ce voyage.
Continue ton chemin quand même et permets aux autres de poursuivre le leur.
Tu n'as pas besoin de justifier ton chemin ou de le défendre.
Reste proche de toi dans ces moments éprouvants.
Ne combats pas l'obscurité; de toute façon elle n'a pas de pouvoir.
Simplement augmente ta lumière.

Jeff Foster - La Divine Pagaille

L'hygiénisme ou hygiène naturelle, définition


L’HYGIÉNISME (ou Hygiène Naturelle)” sont des “systèmes” qui visent à conserver et à rétablir la santé par l’utilisation de moyens qui entretiennent la vie, le développement et la croissance. Il ramène les êtres malades à la santé grâce aux mêmes mesures qui les maintiennent en bonne santé.


En ce qui concerne les malades, c’est un plan qui vise à soigner ces derniers en affermissant l’organisme au lieu de le détraquer ; c’est un système qui, ayant ramené le malade à la santé, lui a en même temps appris comment demeurer en bonne santé. Il est fondamentalement différent de tous les systèmes jusqu’ici en vogue.


*Nous nommons notre système « HYGIÈNE NATURELLE » ou « HYGIÉNISME » afin de le distinguer de la fausse hygiène qui est populaire. Les systèmes médicaux à la mode s’efforcent de transformer des êtres malades en personnes bien portantes, avec les mêmes moyens qui transforment des êtres biens portants en personnes malades.


Ce sont des plans qui visent à GUÉRIR la maladie en détraquant l’organisme au lieu de l’affermir ; ce sont des systèmes qui, ayant GUÉRI la maladie, font généralement du patient un malade chronique pour la vie. C’est la raison pour

laquelle, dans chaque pays et de tous temps, plus le nombre de médecins est grand, plus grande est l’armée des malades.


Il faudrait d’abord que nous ayons une idée bien déterminée au sujet de ce que l’Hygiénisme n’est pas. Ce n’est pas un système de THÉRAPEUTIQUE ; ce n’est pas une méthode ni un système de traitement de maladie ou d’application de palliatifs. Ce n’est pas quelque chose que l’on peut faire lorsque l’on est malade, et que l’on peut abandonner lorsque l’on se sent bien de nouveau.


La MATERIA HYGIENICA est composée de conditions mises en place par la nature et celles-ci sont aussi importantes dans l’état de santé que dans l’état de maladie.


L’Hygiénisme est un mode de vie que l’on poursuit durant toute la vie et qui est aussi important, de manière vitale, pour les biens portants que pour les malades.


La MATERIA HYGIENICA se compose des accessoires et des influences qui rendent la vie possible — les conditions requises essentielles pour l’existence organique. Ce sont les accessoires et les influences que la nature a toujours utilisés dans le passé, qu’elle utilise actuellement et qu’elle utilisera jusqu’à la fin des temps pour construire et pour conserver les règnes végétal et animal, en entier.

Ce sont la lumière, l’air, l’eau, la nourriture, l’activité (travail et exercice), le repos et le sommeil, la chaleur (la température), la propreté et les influences mentales et passionnelles.


Le terme chaleur peut comprendre l’habillement, le logement, les moyens artificiels de chauffage, etc. étant donné que ceux-ci peuvent être nécessaires sous différentes conditions de climat. Par air, on peut inclure la ventilation des locaux d’habitation, des ateliers, etc.


A partir de ces matériaux et sous ces influences, le germe vivant (l’ovule fécondé) organise et achève un organisme complet et nouveau comprenant des structures complexes. A partir de ces mêmes accessoires et sous les mêmes conditions, l’organisme croît, se développe, se répare, poursuit les activités ou fonctions de la vie, se reproduit et, lorsqu’il est malade, répare lui-même son métabolisme grâce à ses propres forces.


La santé ne peut être édifiée, conservée, ni peut être recouvrée par l’emploi correct de l’un ou de deux seulement des besoins nécessaires à la vie.


Par exemple, l’exercice uniquement n’est pas la seule chose dont l’organisme ait besoin pour conserver ou pour recouvrer la santé. Ce n’est pas par le manque d’exercice seul que les Hommes deviennent malades ; et l’exercice seul ne les ramènera pas à la santé, non plus. En fait, il y a de nombreux états de mauvaise santé dans lesquels il ne faudrait pas faire d’exercice. Dans ces conditions, le repos est ce dont on a le plus besoin.


La nourriture seule, le soleil seul, le sommeil seul, la boisson seule, ne sont pas suffisants pour conserver ou améliorer la santé. La synthèse de la santé n’est faite qu’à partir de l’utilisation correcte de tous les facteurs nécessaires à la vie.


La nourriture est l’un des besoins fondamentaux de la vie, et la vie ne peut durer longtemps sans elle ; mais la nourriture seule ne peut pas plus constituer un mode de vie complet que le ferait l’exercice seul. L’ancienne vérité qui disait que « l’Homme ne vit pas de pain (nourriture) seulement » est aussi vraie de nos jours qu’elle ne l’a jamais été. L’assertion qui veut que « la vie soit plus que la nourriture et corps plus que le vêtement » fait ressortir la nécessité de toutes les choses indispensables à la vie. L’homme doit remplir suffisamment tous les besoins de son corps, et pas seulement un ou deux d’entre eux ; c’est pourquoi l’Hygiénisme insiste sur l’adoption d’un mode de vie complet en tant que moyen de conserver la santé, aussi bien que de parvenir à cet état. Nous ne pouvons vivre un peu à la fois, morceau par morceau, et posséder santé et vigueur.


Défini de façon simple, le plan Hygiéniste pour conserver la santé est le suivant : fournir au corps tout ce qui est indispensable à la vie normale, en quantités suffisantes et en proportions requises, et éviter toutes les causes de maladie.

A moins que nous ne remplissions les conditions de la santé, nous ne pouvons logiquement nous attendre à être en bon état de santé, ou de conserver cet état.


Le véritable critérium de ce qui constitue un matériau ou une influence Hygiéniste est le besoin de ce matériau ou de cette influence que ressent un corps sain.


Si l’organisme sain peut en faire usage, et s’il s’affaiblit et tombe malade lorsqu’il ne l’a pas, il appartient alors au domaine des matériaux et influences Hygiénistes.

En revanche, si l’organisme sain ne peut en faire usage, s’il s'affaiblit ou tombe malade lorsqu’il le prend une fois ou de façon continue, il ne doit en aucun cas

être introduit dans le corps par voie quelconque dans quelque condition ou circonstance de la vie que ce soit, et, de même, le corps ne devrait jamais être soumis à cette influence. Mesurés par cet étalon, la nourriture est un matériau Hygiéniste alors que le tabac, qui est une substance non-utilisable, n’en est pas un. La chaleur est une influence Hygiéniste, tandis que le souci est une influence qui ne renvoie à aucune situation prospère et positivement conservatrice, et, ainsi, ne fait pas partie du mode de vie Hygiéniste.


Il y a des conditions et des circonstances de la vie où l’un ou plusieurs de ces besoins de la vie ne sont pas immédiatement réclamés ou ne peuvent être utilisés.


Il y a un temps pour travailler et un temps pour se reposer, un temps pour manger et un temps pour s’abstenir de nourriture ; il y a des moments où l’on a besoin de soleil et d’autres moments où il est préférable de rester à l’ombre ; il y a des moments où il faut prendre de l’eau et d’autres où il faudrait s’en abstenir. Il y a des conditions et des circonstances où l’on ne peut digérer la nourriture, ni l’assimiler, et il faudrait alors ne pas en prendre ; etc.

Le contraire de tout cela n’est pas vrai.


A aucun moment le corps n’a besoin de mercure, ou ne peut l’utiliser ; il en va de même pour l’arsenic, la quinine, la pénicilline, ou autre poison. La position Hygiéniste est que les relations de l’organisme vivant avec son entourage ne sont pas radicalement changées par la maladie. Tout ce qui nous ait défavorable dans l’état de santé, nous est également défavorable dans l’état de maladie. Si une substance est un poison pour un Homme bien portant, c’est également un poison pour un Homme malade ; si elle produit la maladie chez l’homme sain, elle produira également la maladie chez l’être souffrant.


En ce qui concerne les soins aux malades, l’Hygiène Naturelle est l’utilisation, pour le recouvrement de la santé, des moyens qui conservent la santé. Comme il a déjà été dit, Celle-ci restaure la santé dans l’organisme malade par les mêmes moyens qui conservent et favorisent la santé chez l’être bien portant.

Définie de façon simple, notre position est celle-ci : dans l'état de maladie, seuls sont utiles à l’organisme les choses auxquelles l’organisme vivant est adapté de par sa constitution ; ces choses telles que celles qu’il peut s’approprier et dont il peut faire un usage constructif dans l’état de santé.


L’organisme malade n’est pas transformé au point que, alors qu’il a besoin de nourriture lorsqu’il est bien portant et que les poisons le rendent malade, il lui faille des poisons lorsqu’il est malade et qu’il se sente mieux grâce à eux.


Les distinctions qui existent entre les quelques substances et influences simples qui constituent la MATERIA HYGIENICA et l’immense étalage de substances complexes qui composent la MATERIA MEDICA sont radicales et ineffaçables.


Le fait de recouvrer la santé par des moyens qui l’entretiennent et la conservent, relève d’une excellente science.


Nul ne songerait à prescrire aux biens portants des doses quotidiennes de drogues utilisées pour prétendre GUÉRIR les malades, et ceci en vue de les voir conserver leur état de santé.


La santé par un mode de vie sain et le seul moyen sûr de produire et d’entretenir la santé. Seul ceci rentre dans les processus licites et méthodiques de la vie ; tout le reste se trouve en dehors des lois et de l’ordre de la nature, et finit par produire la maladie plutôt que la santé. L’effort qui vise à GUÉRIR la maladie — effort qui remonte à loin et qui est toujours (très) en vogue — au moyen de l’application et de l’administration de procédés ; de matériaux destructifs qui causent la maladie ; effort qui est basé, comme on sait, sur l’hypothèse erronée que l’organisme malade peut utiliser — comme si le besoin le définissait — des procédés et des substances dont il n’a pas besoin et qu’il ne peut utiliser dans l’état de santé, cet effort, donc, n’a que trop aveuglé les gens et a estropié, tué les malades.


Ce système tira son origine de l’effort primitif qui consistait à chasser les mauvais esprits. Il se poursuit dans l’effort moderne qui consiste à chasser les mauvais microbes et virus.


L’on ne pensait pas que la nourriture, l’eau, l’air, le soleil, le repos et le sommeil, la chaleur, l’exercice avaient qualité pour exorciser les démons malveillants que l’on s’imaginait attaquant le corps et produisant la maladie, ce qui explique les moyens violents qui étaient employés.


Il est infamant pour l’Homme civilisé que ces vieilles méthodes soient encore en vogue, en ce vingt-et-unième siècle, alors que tout Homme avisé et intelligent sait que ces mauvais esprits ne sont que les inventions de l’imagination primitive.

Le seul trait caractéristique spécial, en ce qui concerne l’utilisation des nécessités normales de la vie, dans l’état de maladie, consiste en l’adaptation spéciale aux besoins et capacités courants qui sont requis.


Les moyens Hygiénistes ne sont pas des CURES, des TRAITEMENTS ou des REMÈDES, et ils ne sont pas CURATIFS.


Ils appartiennent totalement au royaume de l’hygiène, dans la maladie autant que dans la santé. Leurs relations avec l’organisme vivant ne sont pas modifiées du fait que l’organisme est malade. Seul le pouvoir de l’organisme à les utiliser est affaibli. Ses besoins sont momentanément réduits ou modifiés, mais ils ne sont pas radicalement changés.


L’adaptation des moyens de L’HYGIÈNE aux besoins et capacités de l’organisme altéré constitue l’Hygiène Remédiant.


Lorsque nous nous trouvons en présence d’une condition qui réclame davantage de repos et moins d’exercice, nous avons un exemple très net de la nécessité d’adapter les besoins normaux de la vie aux besoins courants de l’organisme malade, et à ce qui lui est indispensable.


Il y a certaines conditions de vie où il est impossible de digérer et d’assimiler la nourriture. Par conséquent, dans de telles circonstances, au lieu d’insister pour que le malade ingère la nourriture « dont il a besoin » d’après une norme arbitraire, on devrait permettre au malade de s’abstenir de nourriture. Une telle période d’abstinence constitue ce qu’on appelle un repos physiologique, qui correspond à des « vacances » pour l'appareil digestif.


Si l’organisme est capable de digérer et d’assimiler de petites quantités de certaines sortes de nourriture, on peut lui donner ces dernières en rapport avec la capacité d’utilisation. Si les limitations courantes sont outrepassées, le malade est suralimenté et souffre en conséquence.


Au lieu d’administrer au malade une grande variété de substances qui engendrent la maladie (drogues/poisons) et qui sont bien connues comme engendrant la maladie chez les biens portants, l’Hygiène Naturelle adapte les besoins normaux de la vie aux besoins et capacités de la personne malade afin que les processus inhérents de guérison puissent se poursuivre, avec la plus grande efficacité.


Répétons-le : les matériaux et influences Hygiénistes ne sont pas des CURES ou des REMÈDES ; ce ne sont pas des « médicaments » ; ce ne sont pas non plus des accessoires et processus « thérapeutiques », mais bien les fondements essentiels de l’existence vivante.


Notre position, définie en peu de mots, est la suivante :TOUT CE QUE LA VIE UTILISE POUR CONSERVER UN ORGANISME SAIN, EN BONNE SANTÉ, EST LE SEUL MOYEN QUI PUISSE ÊTRE EMPLOYÉ, DE FAÇON LÉGITIME ET EFFICACE, POUR RENDRE A L’ORGANISME MALADE LA CAPACITÉ DE RECOUVRER LA SANTÉ.


Nous ne soutenons pas que ces moyens soient CURATIFS, mais qu’ils sont les accessoires normaux de la vie. Tout ce qui touche la guérison est accompli par l’organisme vivant :

c’est un processus biologique ou physiologique — ce dernier étant un processus vital — et qui n’est pas accompli par quelque chose d’externe ou d’étranger à l’organisme vivant.


Lorsqu’elles sont endommagées, les structures vivantes sont réparées grâce aux mêmes processus biologiques qui les ont fait naître au début. Lorsqu’elle est altérée, alors, la fonction vivante est ramenée à la normale par les mêmes moyens et par les mêmes processus biologiques qui l’avaient créée, au commencement.

A ce propos, il est indispensable que nous attirions l’attention sur le fait que, dans tous les efforts accomplis en vue de se remettre d’un état de santé altérée, il faille corriger ou supprimer toutes les causes d’altération de la santé. De même qu’il est impossible de dégriser un ivrogne alors qu’il continue à boire, et qu’il se dégrise automatiquement sans traitement ni remède lorsqu’il cesse de boire ; de même il est impossible de ramener un malade à la santé — quel que soit le traitement ou le remède employé — tant que la cause n’est pas supprimée.


Mais, ceci étant fait, le malade acquiert la santé, sans traitement ni REMÈDES.

Le plan HYGIÉNISTES qui vise à ramener la santé chez les malades est aussi simple et aussi couronné de succès que l’est le plan visant à conserver la santé chez les biens portants.

Il consiste, finalement, en ceci :


SUPPRIMER TOUTES LES CAUSES DE LA MALADIE, ET FOURNIR TOUTES LES CHOSES NÉCESSAIRES ET ESSENTIELLES A LA VIE NORMALE, EN RAPPORT AVEC

LES BESOINS ET LES CAPACITÉS COURANTS DE L’ORGANISME ALTÉRÈ.”


HERBERT M. Shelton.

vendredi 4 août 2017

Le multipotentialisme | Emilie Wapnick





extrait : "C'est rarement une perte de temps de poursuivre ce vers quoi on est attiré, même si on finit par abandonner. Vous appliquerez peut-être ce savoir à un champ tout à fait différent, d'une façon dont vous ne pourriez avoir anticipée." Synthétiser les idées, apprendre rapidement et être adaptable sont les compétences des multipotentialistes.

jeudi 3 août 2017

L'homéopathie de base et d'urgence


  • Aconit napellus 5CH Fièvres et affections importantes, à début brutal, se manifestant en particulier après un coup de froid sec ou un coup de chaleur et s’accompagnant d’anxiété
  • Arnica montana 9CH Pour les coups et les chocs 
  • China rubra 5CH Pour toutes les pertes de liquides (saignements, diarrhée, vomissements, transpiration…) suivies d’une grande fatigue. 
  • Arsenicum album 7CH Pour les intoxications alimentaires, l’eczéma et l’asthme quand ils sont soulagés par la chaleur locale. 
  • Thuya occidentalis 5CH Pour les verrues et toutes les agressions par un agent extérieur à l’organisme (vaccinations, prise de médicaments type antibiotiques ou cortisone) 
  • Ferrum phosphoricum 5CH en association avec Mercurius dulcis 5CH Pour les otites 
  • Gelsemium 9CH Pour le trac et l’angoisse
  • Apis mellifica 5CH Pour les piqûres d’insectes, les coups de soleil, les oedèmes et gonflements avec inflammation, quand ils sont soulagés par le froid 
  •  Ignatia amara 9CH Pour l’angoisse, la tétanie et les problèmes psychiques se manifestant par des troubles physiques 
  •  Phosphorus 5CH associé à China ruba 5CH et Arsenicum album 5CH Pour les diarrhées Phosphorus 5CH Pour les petites hémorragies 
  •  Nux vomica 5CH Pour les digestions difficiles après repas copieux ou abus d’alcool
  •  Ledum palustre 5CH Pour les piqûres de moustique 
  •  Sérum de Yersin 5CH Pour les grippes et pathologies hivernales 
  •  Belladonna 5CH Pour les brûlures, inflammations et les fièvres, les douleurs avec rougeurs 
  • Veratrum album 5CH Pour les pertes de connaissances et les faiblesses générales
  •  Mercurius solubilis 9CH Pour les angines blanches et les hypersalivations avec mauvaise haleine 
  •  Teinture mère de calendula Propriétés Calendula Intoxication, empoisonnement. Pour les plaies et les affections cutanées. C’est le « mercurochrome » des homéopathes.

vendredi 26 mai 2017

Smoothies verts - les bienfaits sur notre santé

Depuis quelques années des études scientifiques ont été faites pour décrire les bienfaits des smoothies verts. Ce sont des cocktails faits à base de plantes et d’herbes (moitié ou +) qui sont extrêmement bénéfiques pour la santé. Les vitamines que l’on trouve dans les herbes et les plantes y sont souvent présentes dans des proportions gigantesques même par rapport aux fruits.
  • Les acides aminés des plantes servent de matériau pour synthétiser les protéines. Grande erreur de croire que l’homme a besoin de protéines animales, car ce sont les acides aminés qui nous intéressent. Ainsi, quand on consomme une protéine animale, le système digestif doit déchirer les liens entre les acides aminés afin de prendre les acides aminés et en synthétiser sa propre protéine. Dans la nourriture végétale, les acides aminés sont disponibles à l’état pur.
  • Les micro-éléments (le manganèse, le zinc, le fer) et macro-éléments (le calcium, la varangue, le phosphore) y sont également présents comme nulle part ailleurs.
  • Les fibres, que toutes les plantes et feuilles contiennent, sont indispensables pour un bon transit et c’est un détox puissant et naturel.
  • La chlorophylle présente dans les plantes neutralise les toxines dans le corps et aide à purifier le foie. En consommant de la chlorophylle, nous apportons à toutes nos cellules de l’oxygène ce qui renforce tous les organes et améliore leurs fonctions.
  • Les végétaux, en particulier les feuilles vertes, sont alcalinisants. Boire des smoothies verts permet de rétablir un équilibre acide-base qui compense l’effet acidifiant de tout ce que nous mangeons.
Les smoothies verts avec les épices ajoutées deviennent vraiment une merveille pour vos cellules et pour vos papilles !
Voici la recette « Légumes salade bio smoothie » :
Ingrédients, pour 3 personnes :
  • 150 ml d’eau
  • 1 avocat
  • 1/2 concombre
  • 1/2 courgette
  • 1/2 citron
  • 4 à 5 grandes feuilles de salade
  • 10 feuilles de menthe
  • 2 poignées de pouces d’épinards ou 10 grandes feuilles
  • 1 poignée de graines de courge
  • 10 graines moulues de fenouil
  • Du gingembre frais selon le goût
  • Cuillère à café de spiruline
  • 1 cuillère à soupe d’huile végétale (olive, lin, sésame, chanvre)
Préparation :
La préparation nécessite un robot assez puissant, autour de 700 V. Quels que soient les ingrédients, le cocktail se fait toujours en deux étapes :
Mixez avec un blender les herbes, les feuilles (plus de 50% de la quantité de toute la préparation) et les ingrédients durs, comme les fruits à coques, avec de l’eau. Vous pouvez utiliser : feuilles de toutes les salades, des épinards, de la roquette, du basilic, de la menthe, de l’aneth, du persil, de la coriandre, etc.
Ajoutez des fruits ou des légumes, des épices, des poudres, des algues, des huiles, du miel, des graines ou autres.
Bon appetit !
Sources : movingtahiti.com

mercredi 24 mai 2017

L'homéostasie, auto-régulation naturelle du corps

SANTÉ, ZOOM SUR L’HOMÉOSTASIE : NOTRE CORPS EST NOTRE PREMIER MÉDICAMENT

L’homéostasie est la capacité d’un système à conserver son milieu intérieur en équilibre. Cela s’applique à tous les organismes vivants. Pour l’homme, tous les éléments du corps sont prit en compte : le rythme cardiaque, la respiration, la miction, la sudation, la digestion, la température corporelle, la composition du sang… Tous ces phénomènes naturels permettent l’équilibre de l’ensemble de l’organisme et son fonctionnement normal. Zoom sur cette notion de biologie fondamentale qui nous sauve la vie tous les jours, sans même que l’on s’en rende compte.

Qu’est ce que l’homéostasie ? Le concept de l’homéostasie aurait été évoqué pour la première fois par Claude Bernard (médecin et physiologiste français) en 1865 dans son « Introduction à l’étude de la médecine expérimentale ». Il provient du grec hómoios, « similaire », et stásis, « stabilité, action de se tenir debout ». Il concerne les systèmes organiques mais s’applique également à l’écosystème. Comme tout état d’équilibre l’homéostasie est en perpétuel mouvement. Ce sont des processus biologiques, enzymatiques, chimiques et thermiques (entre autres) qui permettent de rester en l’état, de revenir à l’état initial malgré des sollicitations permanentes qui pourraient nous déséquilibrer. « Tous les mécanismes vitaux, quelque variés qu’ils soient, n’ont toujours qu’un but, celui de maintenir l’unité des conditions de la vie dans le milieu intérieur. » L’équilibre intérieur défini par Claude Bernard c’est l’équilibre entre le milieu cellulaire composé de nos cellules (qui compose nos tissus), de nos organes, de notre organisme et le milieu extra cellulaire qui entoure ces cellules. Voilà la base du concept d’homéostasie. Comment se manifeste l’homéostasie ? La régulation Ce sont le système nerveux et le système endocrinien qui détectent et de corrigent les anomalies présentes dans notre corps. L’homéostasie est donc le phénomène qui va mettre en place un processus de régulation afin de maintenir le bon fonctionnement du corps humain. Ce sont en quelque sorte des capteurs qui mesure le facteur réel, et des actionneurs qui agissent en fonction. L’homéostasie est ainsi le processus d’ajustement qui permet cela. Un peu comme un centre de contrôle mécanique (thermostat, variateur de vitesse…) qui va analyser, détecter et mettre en place une réaction pour rétablir le bon équilibre.
Concrètement : Pour les êtres humains ou les animaux en général, le principe va majoritairement être la régulation de la composition du sang, pour éviter les déficits ou les excès, notamment pour les ions (sodium, calcium, potassium), le sucre (la glycémie), l’acidité, l’osmolarité, la circulation sanguine et la température du corps. Et cette régulation se fait entre autres par :
● Le rythme cardiaque et le rythme ventilatoire Ils régulent la diffusion du dioxygène, des ions, des nutriments et autres, à travers le corps.
● L’ouverture ou la fermeture des vaisseaux sanguins Il fait varier la pression artérielle et influe sur les pertes de chaleur. ● Les urines Elles éliminent les excès.
● La sudation La sueur élimine les excès et abaisse la température par évaporation.
● La contraction musculaire Elle produit de la chaleur.
● La faim et la soif Elles poussent à boire et à manger et donc permettent des apports pour combler les déficits. Il existe cependant une variation sur la faim et la soif qui sont des éléments très sensibles aux facteurs psychologiques. Le maintien d’un poids corporel stable ne s’applique donc pas forcément à l’homéostasie dans tous les cas. Car cette notion peut concerner aussi bien l’humeur que tous les autres paramètres évoqués (stabilité de la régulation de la tension artérielle, du pouls, du rythme respiratoire, etc.). Le meilleur remède pour notre corps se trouve à l’intérieur de notre corps. La différence entre le vivant et le non vivant est la capacité à l’homéostasie. La bonne nouvelle pour nous êtres humains, c’est donc que notre corps est capable de se réguler lui même. Il est capable, sans éléments perturbateurs extérieurs, d’être en bon état physique et psychique. Et dans le cas ou il n’irai plus bien, il met en place des processus régulateurs pour revenir à son état d’équilibre.
La question qui en découle est donc : si nous ne sommes pas en bonne santé ou heureux, quels sont ces éléments perturbateurs qu’il faudrait éliminer pour revenir à un état de bien être ? Tout système vivant laissé à lui même en l’absence de perturbations, revient spontanément à l’état d’équilibre. Agir sur les causes. Pour aller bien (ou mieux), nous ne sommes donc pas obligé de chercher à aller trouver des « solutions » et remèdes à ces « maladies ». Car ces « maladies. sont bien souvent les moyens qu’à trouvé le corps pour évacuer ce qui n’est pas bon en nous. Ces troubles qui nous gênent sont les conséquences d’éléments qui nous perturbent et celui ci cherche donc simplement à les faire ressortir. Ce sont en quelque sorte les indicateur sur le tableau de bord, qui nous montrent que quelque chose ne va pas, et dérange notre bon fonctionnement. Au lieu d’aller chercher à traiter les conséquences, il suffirait donc de repérer les causes extérieures qui nous empêchent d’être bien. Cela peut être divers facteurs comme :
● L’alimentation, la qualité de l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons, l’épuisement nerveux, les relations que nous entretenons avec les autres, l’environnement social, le travail, la faiblesse physique...
Notre responsabilité est donc de mettre à notre disposition ce dont on a besoin pour être bien et éradiquer ce qui nous perturbe. Se mettre dans de bonnes conditions. Non pas de tenter de nous « guérir » car notre corps est habilité à le faire lui même. Agir sur la cause, non sur la conséquence. Se poser, réfléchir et tenter de se reconnecter avec nous même, s’écouter. Lister les éléments perturbateurs possibles parmi tout ce qui nous entoure, au lieu de se jeter sur des médicaments qui ne vont faire qu’étouffer ce que notre corps tente de nous dire. Nous avons ce potentiel entre les mains, il serait dommage de passer à coté et continuer à s’enfermer dans un cercle vicieux qui nous détruit. À vous de tenter de changer ou faire évoluer vos habitudes de vies et de vous faire votre propre opinion. Sources : Wikipedia / La bonne nouvelle du corps humain / Ostéopathie de terrain

mercredi 1 mars 2017

Carences en vitamines B, dysbiose, flore intestinale, lacto-fermentation


Dans la seconde vidéo à partir de 2h17 Thierry Casasnovas donne des conseils pour réparer la paroi intestinale, l'intestin poreux, par la prise d'aloe vera, du bon gras. A noter que le sel de mer non raffiné et moulu mélangé à de l'eau peut remplacer le plasma de Quinton. Voir les proportions de sel et d'eau dans la seconde vidéo.

mardi 7 février 2017

Guérison de maladie auto immune - Un médecin témoigne

Un témoignage intéressant de guérison de maladie auto immune par les méthodes naturelles. 
Dans toute maladie auto immune la démarche consiste à rétablir la muqueuse intestinale par la suppression du gluten et des produits laitiers, par une alimentation riche en fruits et légumes crus, un bon sommeil, une activité sportive, une détoxification du corps via les émonctoires

dimanche 5 février 2017

L'Art et la Science de la Détoxification - Dr Robert Morse, naturopathe






Dans cette vidéo, le Dr Robert Morse fait un panorama de ce qu'implique le processus de détoxification du corps, lequel processus prend du temps, implique de comprendre au préalable comment fonctionne la cellule en bonne santé, l'importance du système lymphatique, des glandes surrénales, des apports quotidiens d'éléments alcalins via l'alimentation crue essentiellement frugivore et complétée par quelques légumes.